Salut ! Je me pose une question et j'aimerais avoir votre avis : je mange de la viande mais jamais je ne pourrais tuer un animal pour le manger. Pourtant quand je cueille des fruits ou mange de la salade ça me pose aucun problème. Quelle différence selon vous ? Dans quelle mesure l'animal ou le végétal accepte d'être mangé ?
Merci beaucoup !
Être omnivore jusque où ?
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- Coévoluant
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Coucou ! moi j'aime la peinture, mais je ne serai jamais Dali ... c'est cool déjà d'en prendre conscience au lieu de prendre sa barquette de filets de poulet sous vide en n'imaginant pas une seule seconde que c'est issu d'un poulet sur "pattes" : )
Moi non plus je n'en serai pas capable et heureusement il y a des gens très bien qui le font pour moi ... pour moi à chacun ses compétences et je me trouve tout à fait compétente pour cueillir un panier de mûres, ou déterrer mes poireaux.
Ce qui me vient quand je lis ta phrase : Dans quelle mesure l'animal ou le végétal accepte d'être mangé ? > "contribuer à plus grand que soi" ... c'est avec mon filtre bien sûr donc au suivant !!
; )
Bises
Moi non plus je n'en serai pas capable et heureusement il y a des gens très bien qui le font pour moi ... pour moi à chacun ses compétences et je me trouve tout à fait compétente pour cueillir un panier de mûres, ou déterrer mes poireaux.
Ce qui me vient quand je lis ta phrase : Dans quelle mesure l'animal ou le végétal accepte d'être mangé ? > "contribuer à plus grand que soi" ... c'est avec mon filtre bien sûr donc au suivant !!
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- Jean-Pierre Martinez
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je suis un maillon de la chaine, moi aussi je vais nourrir l'animal et le végétal.
Tuer un animal et le manger c'est aussi prendre ses émotions, comment je me place par rapport à ma propre mort.
Comment j'accepte d'incarner le Père, le chasseur qui nourrit (physique, psychique et spirituel)
Je m'autorise à jouir de la vie et de mort en laissant la culpabilité au bonne soeur et aux curés
Bref la vie !
bises
Tuer un animal et le manger c'est aussi prendre ses émotions, comment je me place par rapport à ma propre mort.
Comment j'accepte d'incarner le Père, le chasseur qui nourrit (physique, psychique et spirituel)
Je m'autorise à jouir de la vie et de mort en laissant la culpabilité au bonne soeur et aux curés
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Jean-Pierre Martinez
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