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Le temps où pénètre l’infinie beauté de l’être

Posté : jeu. 23 mai 2013 19:14
par Mac_Gyver
Bonjour, voici ce qui m'est venu tout à l'heure :

"Le temps où pénètre l’infinie beauté de l’être,
Est comme la frivolité, d’une incongrue belette,
Qui tournerait sur elle, emprisonnée par le vent,

Ne sachant plus où courir, elle se planterait au devant,
D’une cachette sans nom, elle aboierait ton nom,
Regarde mon enfant, le rébus de ta mort,

Ignore l’ignorant, oublie ta vertu,
Respire dorénavant, la syllabe de la grue,
Laisse agir ton destin, récupère celui du nain,

Comme le félin, laisse toi abattre par un arbre,
Jonché de palabre, regarde devant toi,
Libère toi du demain, redresse toi d’hier,

Grimpe comme le lierre, enracine toi et tu verras,
Le fruit de ta vie, renoncer à tes remords meurtries."