Que pensez-vous de ce chêne ?
Posté : jeu. 29 oct. 2015 13:15
Bonjour à tous,
Voilà : il y a ce chêne au fond de mon jardin. Je l'aime beaucoup. J'en parle parfois comme mon chêne, même s'il était là bien avant que j'y habite et qu'il le sera encore bien après, je le souhaite.
Il y a un ou deux ans, j'ai pris la liberté de le débarrasser d'un très gros lierre qui lui enserrait tout le tronc. J'ai un peu hésité parce que j'avais peur de mettre injustement un terme à une relation lierre-arbre dont le sens m'échappait sûrement. Mais j'avais le sentiment que c'est ce que je devais faire.
Ce fut assez amusant — et plus physique que je m'y attendais ! — de grimper dans l'arbre, tirer sur le lierre et le voir étaler par tronçons de dix mètres dans la pelouse, comme un anaconda !
Depuis j'aime bien aller voir le chêne, le toucher. Je vais le voir dans mes moments difficiles, ça me fait du bien, je ressens des trucs.
Le lierre est toujours là, mais sous contrôle, juste au pied de l'arbre ; il semble aussi se rabattre sur le composteur juste derrière. J'accepte qu'il existe jusqu'à une certaine mesure, c'est ce que je lui dis lorsque j'en décroche une partie qui commence à remonter trop haut.
Voici deux photos que j'ai prises aujourd'hui et sur lesquelles je serais très curieux de partager vos impressions.
Belle journée à tous.
Voilà : il y a ce chêne au fond de mon jardin. Je l'aime beaucoup. J'en parle parfois comme mon chêne, même s'il était là bien avant que j'y habite et qu'il le sera encore bien après, je le souhaite.
Il y a un ou deux ans, j'ai pris la liberté de le débarrasser d'un très gros lierre qui lui enserrait tout le tronc. J'ai un peu hésité parce que j'avais peur de mettre injustement un terme à une relation lierre-arbre dont le sens m'échappait sûrement. Mais j'avais le sentiment que c'est ce que je devais faire.
Ce fut assez amusant — et plus physique que je m'y attendais ! — de grimper dans l'arbre, tirer sur le lierre et le voir étaler par tronçons de dix mètres dans la pelouse, comme un anaconda !
Depuis j'aime bien aller voir le chêne, le toucher. Je vais le voir dans mes moments difficiles, ça me fait du bien, je ressens des trucs.
Le lierre est toujours là, mais sous contrôle, juste au pied de l'arbre ; il semble aussi se rabattre sur le composteur juste derrière. J'accepte qu'il existe jusqu'à une certaine mesure, c'est ce que je lui dis lorsque j'en décroche une partie qui commence à remonter trop haut.
Voici deux photos que j'ai prises aujourd'hui et sur lesquelles je serais très curieux de partager vos impressions.
Belle journée à tous.