Echange sur bienfaits norme sociale et contrainte 18 avril

[Jean-Pierre Martinez]

bonjour,

Un thème anachronique ? non, non du bien concret
de la provoque ?, oui un peu, mais dans le partage et la bonne humeur

une nouvelle soirée conférence partage est prévue pour le mercredi 18 avril 2012, le thème :
Géobiologie et coévolution rapport à la norme et à la contrainte
- bienfait de la norme sociale, culturelle, ...
- contrainte outil d'évolution
- ...


et surtout questions ouvertes (posez vos réflexions à la suite de ce message pour qu'il ait toutes les chances d'être abordé)

Début de l'émission 21 h 30 précise jusqu’à 23 h heure de France



intervention en direct des auditeurs par tchat ou/et téléphone.

Pour écouter l'émission, il suffit le mercredi 18 avril 2012 de venir sur ce message pour avoir une interface d'écoute en ligne et des outils simples pour intervenir en direct
celle ci sera disponible 15 minute avec le début de la conférence

Pour participer inscription au forum recommandée mais pas obligatoire.

Si vous voulez commencer à échanger sur le thème sur le forum, cela orientera la soirée à venir
Faites passer le message et à bientôt

jean-pierre

[alainaparis]

Un petit texte, un petit délire qui peut illustrer la contrainte et la norme social.

Dimanche 15 avril.
Absence. Journal, mon beau journal, voilà ce que tu me dis. Et à cela, je te réponds et je te rejoins. Un trou plus que quantique c’est opéré, s’est exercé et s’est vécu dans l’exercice d’écriture journalière, exercice nullement vécu comme astreinte comme contrainte mais comme étreinte par mes demi-portions opposées en apparence, empoisonnées par l’appât rance et que j’appose désamorcées, dépossédées, décortiquées, dénudées pour les retourner et vivre un retour né. «Ouah, Wouaf, wouaf », jappe le chien happé, lui qui matte sous les jupes des « prouts-prouts et non prouts, ma chair ».
Quel juteux juron des jupons ai-je fait là, contenu d’ici là, continu et incontinent, mû et mué dans ce que l’ancien français appelle la jupée ! Quelles singuliers âgés carénages poussent de mon caleçon, dans un monde structurel pictural limite Femme actuelle comme le persiffle si bien Le canard enchainé aux sons des appeaux, des pipeaux, des harpeaux, des oripeaux, du drapeau, monde passé en calandre car froissé d’un je ne sais quoi et devenu calèche en cale sèche où les carrés arrondis surnagent, nagent et coulent par leurs angles morts ?
Et là maintenant, c’est le chien des voisins qui se manifeste. D’accord déchainons pour enchainer sur quels os ai-je déterrés, posté assis, ainsi, ici, à l’écoute endurant devant la chaîne « silence radio », durant les levants et aux volant de ces dix jours ? Le jour d’avant, en date du 04.04, j’ai pondu, ailleurs qu’ici, cette phrase : « Avoue, à moi, aboie t-il, a t-elle un toit ?
De nous à vous, chacun chez soi, dit-on par dicton, n’est-ce pas ? »
Alors, tout boiteux que je suis sur le banc de ne pas avoir de boîte qui banque, j’emboite le pas de ce jour d’avant Pâques, période passée des calendriers d’avent et des calendes grecques et je me dis : « minute papillon, Coco t’y es ! Peut-être que sous le costume de la cocotte sous pression poussant un coq coq codec, les œufs, à l’ombre des cocotiers, sans coques ni coquetiers ne proviennent ni de la poule ni du coq mais de l’escargot, de la limace, du lombric, du mollusque et de la cochenille. » Vous me suivez ? ca va trop vite ?
Garons-nous un instant, égarons-nous avec raison gardée loin de cette course effrénée du lièvre et de la tortue lénifiée sous les regards hagards, effarés et signifiants des chouettes effraie affairées, stupéfiées qui inspira Lafontaine. Cela ne coule t-il pas de source, et je plante pour information le décor autour de l’ère de Planck qui dure un pouième de notre temps, qui réunit l’énergie unifiées de l’univers et qui s’étends sur 10-33 cm, probablement chuchoté par l’enchantement débordant d’un docteur bordelais rouge carmin envers sa Gironde Carmen carmélite enfantant des petits caramels karmiques au bordel spasiba et qui salut le chalutier chavirant et chahutant avec, à la barre, h et h barré, constante et constante réduite qui décrivent la taille des quanta servant le quantum d’action avec une incertitude relative de 4,4x10-8, que ces statiques planctons, loustics et premiers maillons élémentaires de la chaîne alimentaire marines devenus terriennes nous donnent de par leurs traces l’apogée de l’hermaphodite simultané comme celle successif des consoeurs confrères batraciens et autres poissons clown taxés de protandrie et de protogynie.

[Yesod Yogesh]

Chanté en rap, ça devrait être pas mal

[cyril epstein]

Je commence par voir le thème a un niveau metaphysique général. La norme sociale a une source haute (divine) et une source basse (homme). D'où un bienfait relatif, mais ce relatif, ce négatif, est aussi un appui pour élever le monde.
La situation actuelle est celle où les normes perdent de leur force de structuration du monde, et ainsi d'autres normes, plus souples car plus libres, peuvent s'affirmer. Elles s'affirment en partie en tenant compte des contraintes issues des anciennes normes. Mais elles s'affirmeront d'autant mieux qu'elle réussiront à négliger ces anciennes normes, pour leur enlever de leur vitalité. C'est un peu comme un passage d'un mode de guérison à l'ancienne (faire la guerre à la maladie) à un mode de guérison nouveau (médecine passant par l'âme).

[Intuitive heart]

La norme est limite, la perception de cette dimension exige une norme collective car besoin d'individuation.

[sofie]

Faire évoluer la norme, plutôt que de lutter contre afin de se créer la sienne pour se sentir moins étriqué ...
Mise en pratique depuis 1 semaine ! c'est bien mais épuisant ! mais toutefois satisfaisant si on sait s'armer de patience ...