Bonjour,
Merci Hollora.
Merci Anne.
Merci Omanoe.
Merci pour ton lien Anne également !
Bon ! HO'OPONOPONO, je connaissais mais j’avoue que cela m’était un peu (beaucoup) sorti de ma tête.
Après vision intégrale, de la vidéo de Olivier Madelrieux, je ne suis pas beaucoup plus convaincu.
C’est vrai, l’herbe est toujours plus verte dans le prés d’à côté, surtout, si dans ce cas là, le prés se situe en Inde, au Népal, à Tahiti ou à Hawaii et c’est plus commode d’aller brouter l’herbe (et se shooter ?) là-bas.
En plus, relativement à Madelrieux, au niveau de la transparence, il y a juste un business derrière, ce qui lui permet d’aller brouter là-bas 6 mois de l’année.
Si nous devions nous réclamer d’obédience orientale ou HO'OPONOPONO, il me semble que nous serions nés justement…… en Inde, au Népal, à Tahiti ou à Hawaii.
Chaque branche humaine possède sa tradition avec son type de pensée et de comportement.
Ce qui est important, c’est de constater, à epsilon près, que toutes ces traditions émanent de la même origine.
Par conséquent, nos ancêtres n’étant pas plus idiots que les autres, disposaient également d’une tradition, sauf que celle-ci, laminée par deux millénaires de religion et/ou d’inquisition à disparu ou est devenue secrète.
Tout le monde n’appartient pas à une société ésotérique (certains ont même refusé d’y entrer) susceptible de lui fournir des éléments tangibles d’information sur nos traditions et des pistes de réflexion.
Pourtant, cette tradition est là, partout !
Je suis convaincu qu’elle nous fait signe en permanence.
Alors que faire ?
Je pense qu’il faut se bouger les fesses, descendre à la cave de notre inconscient, déblayer et retrouver nous-même cette tradition.
Avec HO'OPONOPONO, j’ai l’impression de repartir du début du thème « La culpabilité » lancé par Hollora !
Ou bien le truc judéo-chrétien :
« C’est ma faute, ma très grande faute ! Mea Culpa ! Mea Maxima Culpa ! »
De toutes façons, à les écouter, c’est toujours de ma faute !
Zut ! J’en ai marre à la fin !
(Comme pour les automobilistes, c’est toujours de leur faute !)
Et donc de ce fait :
Mon HO'OPONOPONO à moi est le suivant ( d’après Olivier Madelrieux):
«
Je vous aime (ça d’accord, les coévoluants) !
Je ne suis pas désolé !
Pardonne moi ou pas (je m’en fous !)
Pas merci !
Je vous aime (toujours, les coévoluants)
Je ne suis pas désolé !
Pardon pour rien !
(Ce que j’ai vécu, je l’ai vécu, cela n’a pas été toujours facile, loin de là, mais c’est mon vécu, mon expérience et ma fierté d’être toujours là !)
Je veux bien prendre ma responsabilité à 100% (car j’assume !) !
Je m’adresse à toute les parties de mon corps qui (sup)portent ce problème et je leur dis que si j’avais été créé plus parfait, elles n’auraient pas supporté ledit problème, et donc, de par ce fait, je n’ai pas à être désolé !
De tout mon cœur, de toute mon âme, je ne suis pas désolé car dans tous les cas, JE FAIS DE MON MIEUX ! »
Et on arrête de pleurnicher, on se bouge !
Ah ! Cela fait du bien de « blasphémer » une fois en passant !
On DE-CULPABILISE !
A choisir une tradition exotique, pourquoi pas la tradition
toltèque (accords) :
1.
Que votre parole soit impeccable
2. N’en faites jamais une affaire personnelle
3. Ne faites aucune supposition
4. Faites toujours de votre mieux
En conclusion, chacun dispose de l’approche qu’il veut, il fait ce qu’il pense être le mieux pour lui, l’oriental, le polynésien, l’aborigène et ses kangourous, l’occidental, etc., dans une tradition je dirais, verticale par rapport à ses ancêtres, et non horizontale, interethnique.
Pour moi, si une personne, occidentale par exemple, se sentais subitement attirée par une pratique orientale, de deux choses l’une :
Ou bien la cigogne, à sa naissance, s’est trompée d’adresse….
Ou bien, ce qui semble l’attirer ailleurs fait partie de sa propre tradition mais elle l’ignore !!
Je vous aime !