par LeDahu » dim. 5 mars 2017 20:01
Cela résonne fortement avec ce que je vis actuellement.
Depuis quelques mois, cela devient de plus en plus difficile d'agir pour réaliser des désirs basés sur mes croyances/ peurs .Surtout quand cela est lié à ma croyance de devoir faire certaines choses pour les autres, me conformer à ce que crois devoir être, etc...
Cela m'a donc imposé de fait de devoir m'adapter, ne pouvant agir que dans la direction de vraies envies. En effet, les actions orientées vers ces faux désirs se heurtent rapidement à des grosses bouffées de peur, d'angoisse et si j'essaie de forcer, une bonne montée émotionnelle m'oblige à lâcher.
Cela m'oblige donc à centrer ma vie sur mes vraies envies, même si une peur me bloque le passage, toute autre action m'épuisant, m'ennuyant et s'immobilisant à terme.
Il reste toutefois encore les actions de remplissage, dont je ne tire quasiment pas de plaisir. Et celles-ci sont là par réflexe de fuite.
J'ai donc depuis quelques mois pris l'habitude de me poser vraiment la question: De quoi ai-je envie maintenant ?
Et cela me permet donc de faire des choses que je n'aurai pas fait autrement. d'autant plus que j'ai parfois du mal à identifier mes envies, la plupart étant encore inconscientes pour une bonne part, certaines croyances bloquant l'accès
J'ai vraiment l'impression ces temps-ci de lâcher mes masques/ rôles auxquels je me suis accroché et donc les faux désirs qui vont avec. Et donc cela laisse de la place et du temps pour les vraies envies, mais aussi pour l'ennui.
Et je m'étonnes moi-même à faire des choses dont je me croyais incapable, ou dont je ne pensais tirer aucun plaisir. Par exemple, je me suis mis à apprécier de dessiner , sans n'en avoir jamais fait.
Tout cela basé sur la réflexion: Et pourquoi pas?
Un enfant ne se pose pas la question de s'il sait dessiner avant de prendre un crayon. Il le fait, c'est tout.
En effet, cela me permet de retourner à la joie simple de faire juste pour faire.
Mais c'est vrai que cela me donne parfois l'impression d'un grand vide, l'accès à mes vraies envies étant encore assez verrouillé.
Et mes faux désirs me tiennent encore compagnie, ce dont j'ai encore un peu besoin , ayant peur de les lâcher et de ne pas avoir accès aux envies et donc vivre dans le "bofff".
Voilà où j'en suis avec mes envies.
Cela résonne fortement avec ce que je vis actuellement.
Depuis quelques mois, cela devient de plus en plus difficile d'agir pour réaliser des désirs basés sur mes croyances/ peurs .Surtout quand cela est lié à ma croyance de devoir faire certaines choses pour les autres, me conformer à ce que crois devoir être, etc...
Cela m'a donc imposé de fait de devoir m'adapter, ne pouvant agir que dans la direction de vraies envies. En effet, les actions orientées vers ces faux désirs se heurtent rapidement à des grosses bouffées de peur, d'angoisse et si j'essaie de forcer, une bonne montée émotionnelle m'oblige à lâcher.
Cela m'oblige donc à centrer ma vie sur mes vraies envies, même si une peur me bloque le passage, toute autre action m'épuisant, m'ennuyant et s'immobilisant à terme.
Il reste toutefois encore les actions de remplissage, dont je ne tire quasiment pas de plaisir. Et celles-ci sont là par réflexe de fuite.
J'ai donc depuis quelques mois pris l'habitude de me poser vraiment la question: [b]De quoi ai-je envie maintenant ?[/b]
Et cela me permet donc de faire des choses que je n'aurai pas fait autrement. d'autant plus que j'ai parfois du mal à identifier mes envies, la plupart étant encore inconscientes pour une bonne part, certaines croyances bloquant l'accès
J'ai vraiment l'impression ces temps-ci de lâcher mes masques/ rôles auxquels je me suis accroché et donc les faux désirs qui vont avec. Et donc cela laisse de la place et du temps pour les vraies envies, mais aussi pour l'ennui.
Et je m'étonnes moi-même à faire des choses dont je me croyais incapable, ou dont je ne pensais tirer aucun plaisir. Par exemple, je me suis mis à apprécier de dessiner , sans n'en avoir jamais fait.
Tout cela basé sur la réflexion: [b]Et pourquoi pas?[/b]
Un enfant ne se pose pas la question de s'il sait dessiner avant de prendre un crayon. Il le fait, c'est tout.
En effet, cela me permet de retourner à la joie simple de faire juste pour faire.
Mais c'est vrai que cela me donne parfois l'impression d'un grand vide, l'accès à mes vraies envies étant encore assez verrouillé.
Et mes faux désirs me tiennent encore compagnie, ce dont j'ai encore un peu besoin , ayant peur de les lâcher et de ne pas avoir accès aux envies et donc vivre dans le [i]"bofff"[/i].
Voilà où j'en suis avec mes envies.