par alainaparis » dim. 15 avr. 2012 18:50
Un petit texte, un petit délire qui peut illustrer la contrainte et la norme social.
Dimanche 15 avril.
Absence. Journal, mon beau journal, voilà ce que tu me dis. Et à cela, je te réponds et je te rejoins. Un trou plus que quantique c’est opéré, s’est exercé et s’est vécu dans l’exercice d’écriture journalière, exercice nullement vécu comme astreinte comme contrainte mais comme étreinte par mes demi-portions opposées en apparence, empoisonnées par l’appât rance et que j’appose désamorcées, dépossédées, décortiquées, dénudées pour les retourner et vivre un retour né. «Ouah, Wouaf, wouaf », jappe le chien happé, lui qui matte sous les jupes des « prouts-prouts et non prouts, ma chair ».
Quel juteux juron des jupons ai-je fait là, contenu d’ici là, continu et incontinent, mû et mué dans ce que l’ancien français appelle la jupée ! Quelles singuliers âgés carénages poussent de mon caleçon, dans un monde structurel pictural limite Femme actuelle comme le persiffle si bien Le canard enchainé aux sons des appeaux, des pipeaux, des harpeaux, des oripeaux, du drapeau, monde passé en calandre car froissé d’un je ne sais quoi et devenu calèche en cale sèche où les carrés arrondis surnagent, nagent et coulent par leurs angles morts ?
Et là maintenant, c’est le chien des voisins qui se manifeste. D’accord déchainons pour enchainer sur quels os ai-je déterrés, posté assis, ainsi, ici, à l’écoute endurant devant la chaîne « silence radio », durant les levants et aux volant de ces dix jours ? Le jour d’avant, en date du 04.04, j’ai pondu, ailleurs qu’ici, cette phrase : « Avoue, à moi, aboie t-il, a t-elle un toit ?
De nous à vous, chacun chez soi, dit-on par dicton, n’est-ce pas ? »
Alors, tout boiteux que je suis sur le banc de ne pas avoir de boîte qui banque, j’emboite le pas de ce jour d’avant Pâques, période passée des calendriers d’avent et des calendes grecques et je me dis : « minute papillon, Coco t’y es ! Peut-être que sous le costume de la cocotte sous pression poussant un coq coq codec, les œufs, à l’ombre des cocotiers, sans coques ni coquetiers ne proviennent ni de la poule ni du coq mais de l’escargot, de la limace, du lombric, du mollusque et de la cochenille. » Vous me suivez ? ca va trop vite ?
Garons-nous un instant, égarons-nous avec raison gardée loin de cette course effrénée du lièvre et de la tortue lénifiée sous les regards hagards, effarés et signifiants des chouettes effraie affairées, stupéfiées qui inspira Lafontaine. Cela ne coule t-il pas de source, et je plante pour information le décor autour de l’ère de Planck qui dure un pouième de notre temps, qui réunit l’énergie unifiées de l’univers et qui s’étends sur 10-33 cm, probablement chuchoté par l’enchantement débordant d’un docteur bordelais rouge carmin envers sa Gironde Carmen carmélite enfantant des petits caramels karmiques au bordel spasiba et qui salut le chalutier chavirant et chahutant avec, à la barre, h et h barré, constante et constante réduite qui décrivent la taille des quanta servant le quantum d’action avec une incertitude relative de 4,4x10-8, que ces statiques planctons, loustics et premiers maillons élémentaires de la chaîne alimentaire marines devenus terriennes nous donnent de par leurs traces l’apogée de l’hermaphodite simultané comme celle successif des consoeurs confrères batraciens et autres poissons clown taxés de protandrie et de protogynie.
Un petit texte, un petit délire qui peut illustrer la contrainte et la norme social.
Dimanche 15 avril.
Absence. Journal, mon beau journal, voilà ce que tu me dis. Et à cela, je te réponds et je te rejoins. Un trou plus que quantique c’est opéré, s’est exercé et s’est vécu dans l’exercice d’écriture journalière, exercice nullement vécu comme astreinte comme contrainte mais comme étreinte par mes demi-portions opposées en apparence, empoisonnées par l’appât rance et que j’appose désamorcées, dépossédées, décortiquées, dénudées pour les retourner et vivre un retour né. «Ouah, Wouaf, wouaf », jappe le chien happé, lui qui matte sous les jupes des « prouts-prouts et non prouts, ma chair ».
Quel juteux juron des jupons ai-je fait là, contenu d’ici là, continu et incontinent, mû et mué dans ce que l’ancien français appelle la jupée ! Quelles singuliers âgés carénages poussent de mon caleçon, dans un monde structurel pictural limite Femme actuelle comme le persiffle si bien Le canard enchainé aux sons des appeaux, des pipeaux, des harpeaux, des oripeaux, du drapeau, monde passé en calandre car froissé d’un je ne sais quoi et devenu calèche en cale sèche où les carrés arrondis surnagent, nagent et coulent par leurs angles morts ?
Et là maintenant, c’est le chien des voisins qui se manifeste. D’accord déchainons pour enchainer sur quels os ai-je déterrés, posté assis, ainsi, ici, à l’écoute endurant devant la chaîne « silence radio », durant les levants et aux volant de ces dix jours ? Le jour d’avant, en date du 04.04, j’ai pondu, ailleurs qu’ici, cette phrase : « Avoue, à moi, aboie t-il, a t-elle un toit ?
De nous à vous, chacun chez soi, dit-on par dicton, n’est-ce pas ? »
Alors, tout boiteux que je suis sur le banc de ne pas avoir de boîte qui banque, j’emboite le pas de ce jour d’avant Pâques, période passée des calendriers d’avent et des calendes grecques et je me dis : « minute papillon, Coco t’y es ! Peut-être que sous le costume de la cocotte sous pression poussant un coq coq codec, les œufs, à l’ombre des cocotiers, sans coques ni coquetiers ne proviennent ni de la poule ni du coq mais de l’escargot, de la limace, du lombric, du mollusque et de la cochenille. » Vous me suivez ? ca va trop vite ?
Garons-nous un instant, égarons-nous avec raison gardée loin de cette course effrénée du lièvre et de la tortue lénifiée sous les regards hagards, effarés et signifiants des chouettes effraie affairées, stupéfiées qui inspira Lafontaine. Cela ne coule t-il pas de source, et je plante pour information le décor autour de l’ère de Planck qui dure un pouième de notre temps, qui réunit l’énergie unifiées de l’univers et qui s’étends sur 10-33 cm, probablement chuchoté par l’enchantement débordant d’un docteur bordelais rouge carmin envers sa Gironde Carmen carmélite enfantant des petits caramels karmiques au bordel spasiba et qui salut le chalutier chavirant et chahutant avec, à la barre, h et h barré, constante et constante réduite qui décrivent la taille des quanta servant le quantum d’action avec une incertitude relative de 4,4x10-8, que ces statiques planctons, loustics et premiers maillons élémentaires de la chaîne alimentaire marines devenus terriennes nous donnent de par leurs traces l’apogée de l’hermaphodite simultané comme celle successif des consoeurs confrères batraciens et autres poissons clown taxés de protandrie et de protogynie.