Re: Accords Toltèques
Posté : mar. 26 oct. 2010 08:19
Bonjour,
A Bao :
Tu as bien compris ce que j'ai essayé d'exprimer . Mon propos s'est étendu du pardon à la dualité puisqu'au fond l'un est lié à l'autre.
A Florence :
A Jean-Pierre :
En fait, dans cette histoire, le pardon se pose par rapport à soi-même car on s'en veut de ne pas être aussi serein qu'il faudrait,on s'en veut d'être écœuré par les problèmes d'hygiène et autres (c'est très dur d'être dans la merde, en continu, alors que l'on arrête pas de l'enlever, c'est très dur de faire face à la violence inouïe de quelqu'un que l'on aime et de prendre les coups sans pouvoir se défendre, etc.). Assurément, on s'en veut que "le mieux que l'on fait" soit si peu. Aussi, se pardonner de cela n'est pas si facile. Si je me réfère à cette histoire, c'est pour montrer que l'on a beau affirmer et croire en la perfection de ce monde, dans les cas difficiles, on a beaucoup de mal et on est bien dans la dualité face à soi-même.
FdV57
A Bao :
une chose: je ne vois pas de quoi tu dois te pardonner d'avoir pris soin de ta belle-mère chez toi, ou alors j'ai mal compris..
ou alors peut être veux-tu juste dire que quelque fois on est dans un situation tellement difficile que prendre du recul même avec toute son énergie du coeur est assez difficile. dans ce cas là j'ai bien compris ce que tu voulais dire pour l'avoir moi-même vécu
Tu as bien compris ce que j'ai essayé d'exprimer . Mon propos s'est étendu du pardon à la dualité puisqu'au fond l'un est lié à l'autre.
A Florence :
En l'occurrence, je ne me juge pas, quoique...J'ai effectivement essayé de faire de mon mieux mais je pensais pouvoir rester davantage dans l'équanimité dans cette situation. Ce qui est terrible, c'est de se rendre compte à quel point nous sommes vulnérables et limités. Dans ces moments là, dire que nous sommes des êtres parfaits apparaît comme une affirmation stupide et prétentieuse : face à une situation particulièrement difficile et longue, nous sommes confrontés violemment à nous-mêmes dans ce qu'il y a de plus faible.Il me semble que tu te juges un peu durement...
Tu as certainement bien appliqué la leçon des accords Toltèques: tu as fait de ton mieux
A Jean-Pierre :
Je crois que je viens déjà de répondre à cette question, au moins en partie.tu place le pardon dans l'histoire ?
En fait, dans cette histoire, le pardon se pose par rapport à soi-même car on s'en veut de ne pas être aussi serein qu'il faudrait,on s'en veut d'être écœuré par les problèmes d'hygiène et autres (c'est très dur d'être dans la merde, en continu, alors que l'on arrête pas de l'enlever, c'est très dur de faire face à la violence inouïe de quelqu'un que l'on aime et de prendre les coups sans pouvoir se défendre, etc.). Assurément, on s'en veut que "le mieux que l'on fait" soit si peu. Aussi, se pardonner de cela n'est pas si facile. Si je me réfère à cette histoire, c'est pour montrer que l'on a beau affirmer et croire en la perfection de ce monde, dans les cas difficiles, on a beaucoup de mal et on est bien dans la dualité face à soi-même.
FdV57