par lindced » jeu. 7 juin 2018 22:46
Bonsoir,
je ne sais si c'est hors sujet mais cela reste dans le partage, de soi à soi à travers soi au niveau des corps (subtils donc terrestre) et la peur que l'on peut avoir et qui nous bloque (enferme) suivant l'acceptation de son propre partage de soi à soi d'après les croyances que l'on a... avec l'étage du dessus et/ou du dessous, le divin, la source etc. à chacun d'y mettre le terme qui lui convient.
Suivant la culture bouddhique, il y a le corps physique, éthérique, émotionnel, mental, bouddhique ou christique, divin.
étant donné que mon corps ressent avant le mental et que mon corps fonctionne sans avoir donné l'ordre de digestion, de battre le coeur ou de pensées, cela donne pour moi :
le corps ressent parce qu'il vit = physique,
ensuite il diffuse, brûle (des calories) = éther (air),
après coup, l'émotion existe et nous prouve que nous somme en mouvement perpétuel, existant en étoile ou pieuvre électrique (méridien ?), c'est à dire que quelque soit le point (pied et main liées) c'est diffuser au corps entier = émotionnel,
ensuite le mental met des mots sur les maux ou le mal donc traduit réellement le songe dans lequel il a envie de vivre cet événement car le mental ment à l'esprit (monde des esprits) en essayant d'atténuer le mal (illusion) qu'il vient de vivre (normal sinon HP au besoin) = mental ou causal selon la cause pour,
ensuite devenir le partage qui est en vie (envie de joie, de colère...) afin de vivre l'expérience de soi = bouddhique, christique (peinture sur soi(e))
dans le but, s'il existe, de mettre à jour l'expérience commune qu'est la lumière du jour grâce au soleil qui réchauffe (vitamine D (day, dé, dais...ici et maintenant))
Et pour le coup, l'inverse est vrai aussi car la discussion (l'émotion vécue) n'a de cesse tant que l'accord n'est pas parfait. C'est à dire que l'accord parfait, majeur ou mineur, sonne suivant les corps subtils en adéquation avec son propre accord (sa vie, mission de vie, position du missionnaire suivant le masculin ou féminin (donner, recevoir)).
Désolé, c'est un peu brouillon mais cela m'aide à comprendre en quoi je bloque et cela rejoint (pour moi) les exercices (et pas que) de Jean Pierre Martinez ainsi que la marche avant-arrière.
Le partage que l'on a peur de partager à autrui par peur d'être "volé", nous a déjà été donné, donc nous avons déjà volé un partage (par don ?) que nous souhaiterions garder pour nous alors que c'est grâce aux lectures (donc à autrui) et à l'étage du dessus qui nous ont fournis les possibilités de comprendre ce que l'on vit (grosso modo!).
Donc, nous avons peur que nos informations soit volées (car) tout en sachant que nous avons volé des informations : paradoxe ou paranormale ?
J'ai mis (je mets encore et c'est pas fini) du temps a accepter que quoi que l'on fasse, ils voient et partagent car nous partageons sans cesse des infos (énergies) qui fait que plus on se barricade, plus les autres nous voient.
Ce que je commence a accepter est que plus on se dévoile, plus le coup de couteau d'autrui est vain car fendre l'air est quelque peu difficile !
Ce qui rejoint, avoir de la veine car cela coule de source.
Bonsoir,
je ne sais si c'est hors sujet mais cela reste dans le partage, de soi à soi à travers soi au niveau des corps (subtils donc terrestre) et la peur que l'on peut avoir et qui nous bloque (enferme) suivant l'acceptation de son propre partage de soi à soi d'après les croyances que l'on a... avec l'étage du dessus et/ou du dessous, le divin, la source etc. à chacun d'y mettre le terme qui lui convient.
Suivant la culture bouddhique, il y a le corps physique, éthérique, émotionnel, mental, bouddhique ou christique, divin.
étant donné que mon corps ressent avant le mental et que mon corps fonctionne sans avoir donné l'ordre de digestion, de battre le coeur ou de pensées, cela donne pour moi :
le corps ressent parce qu'il vit = physique,
ensuite il diffuse, brûle (des calories) = éther (air),
après coup, l'émotion existe et nous prouve que nous somme en mouvement perpétuel, existant en étoile ou pieuvre électrique (méridien ?), c'est à dire que quelque soit le point (pied et main liées) c'est diffuser au corps entier = émotionnel,
ensuite le mental met des mots sur les maux ou le mal donc traduit réellement le songe dans lequel il a envie de vivre cet événement car le mental ment à l'esprit (monde des esprits) en essayant d'atténuer le mal (illusion) qu'il vient de vivre (normal sinon HP au besoin) = mental ou causal selon la cause pour,
ensuite devenir le partage qui est en vie (envie de joie, de colère...) afin de vivre l'expérience de soi = bouddhique, christique (peinture sur soi(e))
dans le but, s'il existe, de mettre à jour l'expérience commune qu'est la lumière du jour grâce au soleil qui réchauffe (vitamine D (day, dé, dais...ici et maintenant))
Et pour le coup, l'inverse est vrai aussi car la discussion (l'émotion vécue) n'a de cesse tant que l'accord n'est pas parfait. C'est à dire que l'accord parfait, majeur ou mineur, sonne suivant les corps subtils en adéquation avec son propre accord (sa vie, mission de vie, position du missionnaire suivant le masculin ou féminin (donner, recevoir)).
Désolé, c'est un peu brouillon mais cela m'aide à comprendre en quoi je bloque et cela rejoint (pour moi) les exercices (et pas que) de Jean Pierre Martinez ainsi que la marche avant-arrière.
Le partage que l'on a peur de partager à autrui par peur d'être "volé", nous a déjà été donné, donc nous avons déjà volé un partage (par don ?) que nous souhaiterions garder pour nous alors que c'est grâce aux lectures (donc à autrui) et à l'étage du dessus qui nous ont fournis les possibilités de comprendre ce que l'on vit (grosso modo!).
Donc, nous avons peur que nos informations soit volées (car) tout en sachant que nous avons volé des informations : paradoxe ou paranormale ?
J'ai mis (je mets encore et c'est pas fini) du temps a accepter que quoi que l'on fasse, ils voient et partagent car nous partageons sans cesse des infos (énergies) qui fait que plus on se barricade, plus les autres nous voient.
Ce que je commence a accepter est que plus on se dévoile, plus le coup de couteau d'autrui est vain car fendre l'air est quelque peu difficile !
Ce qui rejoint, avoir de la veine car cela coule de source.